Regarder, c'est au moins apporter une certaine curiosité. Etre curieux n'est ce pas de chercher à progresser ? Avec le 3D-Health-Center voici un regard de plus sur les faits et réalités
COVID 19 : Il n'y aura pas de vaccin. Je pense que c'est un virus qui atteint le lymphocyte. Tout comme il n'y a pas de vaccin sur certaines maladies comme le SIDA.
Je pense que c'est un leurre ce vaccin.
L'application StopCovid "n'a pas marché (...). On n'a pas réussi à faire de l'application un outil pour les gens!
Donc depuis plusieurs semaines, j'ai demandé aux équipes de complètement reconfigurer les choses. Il faut qu'on ait une nouvelle application. Elle va s'appeler Tous anti-Covid.
Ce sera notamment "une application d'information" qui présentera de nouvelles options :
-comment circule le virus,
-où vous êtes,
-où sont les points pour se faire tester (...).
Donc il y aura des informations générales, des informations plus particulières et locales
Certains y verront de l’argent jeté par les fenêtres, d’autres un brouillon avant le chef d’oeuvre. Toujours est-il que StopCovid a fait son temps (avec une utilité pour le moins douteuse), place à Tous-Anti-Covid, la future application de contact tracing française qui sera dévoilée le 22 octobre.
L’échec de StopCovid est maintenant indéniable, même le Président de la République en fait le constat. “Ça n'a pas marché” expliquait Emmanuel Macron hier soir lors d’une interview. Pour autant, quand bien même il a “été beaucoup moins téléchargé que chez nos voisins”, les applications allemandes et britanniques frôlant les 20 millions de téléchargement chacune, le Président insiste : “personne n'a réussi à faire de l'application un vrai outil d'alerte”.
Personne, sauf la France apparemment, qui retente à nouveau l’expérience avec un StopCovid 2, abandonnant a priori tout ce qui touche au contact tracing par Bluetooth gourmand en batterie. Les efforts de l’INRIA n’auront ainsi pas permis de sauver ROBERT. En lieu et place, un fonctionnement similaire à celui de l’application lancée à Singapour, à en croire BFM TV.
Stop-Anti-Tous-Covid
Non pas la première, TraceTogether, qui fonctionnait elle aussi sur le BLE et n’a pas été aussi téléchargée que souhaité (ça ne vous rappelle rien ?), mais la seconde, SafeEntry. Celle-ci reposait sur un QR code que l’utilisateur devait scanner en entrant et sortant de certains lieux publics et bâtiments, QR code contenant des informations d’identification. Un système de check in et de check out permettant de savoir qui se trouvait à tel endroit à tel heure. Tous-Anti-Covid adopterait donc un système similaire, à l’entrée des restaurants ou de bureaux par exemple.
Ainsi, plus de problème d’autonomie, d’incompatibilité ou encore de signal : il revient ainsi à l’utilisateur d’activer manuellement l’application. Ce qui correspond aux déclarations d’Emmanuel Macron, pour qui il faudra allumer l’application “quand vous allez au restaurant, au bar, dans un endroit à risque”. On pourra toutefois s’interroger sur la pertinence du QR Code, format qui est bien moins plébiscité dans l’Hexagone qu’il ne l’est en Asie, à Singapour entre autres.
Le gouvernement donnera à la population un “mode d’emploi très clair” quant à l’utilisation de cette application, qui affichera en outre des informations générales et des informations particulières et locales sur l’épidémie. Tous-Anti-Covid sera présenté le 22 octobre, après quoi l’application “va monter en charge”. Et cette fois-ci, son pilotage passera d’abord par un appel d’offres.
.../... Les maladies infectieuses, comme tous les phénomènes vivants, ne sont plus aujourd’hui ce qu’elles étaient hier et ne sont pas aujourd’hui ce qu’elles seront demain.
On peut même avancer qu’entre le début et la fin de nos observations et de nos expériences,
il y a changement .../...
Charles Nicolle, Destin des maladies infectieuses (1933)
.../... On comprend, par conséquent, qu’il ne soit pas bon, pour aborder l’étude des maladies infectieuses, d’y apporter l’esprit, les méthodes dont le mathématicien, le physicien, le chimiste font un si juste emploi dans leurs recherches. Sans doute, nul, parmi les biologistes, ne l’ignore ou ne le nie, les actes de la vie se résolvent en faits d’ordre physico-chimique ; mais le moindre phénomène vivant constitue un ensemble si complexe qu’aucun progrès ne saurait être réalisé, si l’on en abordait l’étude avec un esprit uniquement mécaniste .../...
Charles Nicolle, Destin des maladies infectieuses (1933)
Nous devons maintenant travailler dur pour nous assurer que 2019 restera dans les mémoires comme un pic définitif des émissions mondiales, et pas seulement comme une nouvelle pause dans la croissance.
Nous avons les technologies énergétiques pour le faire et nous devons tous les utiliser
CLIMAT. A l'échelle planétaire, les émissions de dioxyde de carbone ont connu une stabilisation à environ 33 gigatonnes, après deux années de hausse.
Les sources d'énergies renouvelables y ont certes contribué, de même que la transition du charbon vers le gaz naturel, mais la montée en puissance du nucléaire ne doit pas être négligée.
Après deux années d'augmentation, le niveau mondial des émissions de dioxyde de carbone (CO2) s'est stabilisé en 2019, à hauteur de 33 gigatonnes. Un constat analysé dans le rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) rendu public ce 11 février 2020, et qui s'explique par la forte baisse des émissions de CO2 du secteur de l'énergie lui-même dans les pays développés, grâce notamment au poids croissant des sources d'énergies renouvelables - au premier plan l'éolien et le solaire photovoltaïque - et à la transition du charbon vers le gaz naturel, mais également grâce à la montée en puissance de l'énergie atomique.
Dans le détail, l'AIE nous apprend que les émissions induites par l'utilisation du charbon ont diminué de 1,3%, soit 200 millions de tonnes par rapport au niveau de 2018, contrebalançant ainsi la hausse des émissions provoquées par le pétrole et le gaz naturel. Les pays développés ont enregistré une baisse de leurs émissions de l'ordre de 3,2%, ce qui représente plus de 370 millions de tonnes, et sachant que le secteur de l'énergie est responsable à hauteur de 85% de cette baisse dans ces économies. Plus largement, de nombreuses puissances économiques ont connu l'année dernière des conditions météorologiques plus douces, ce qui a aussi contribué au phénomène à hauteur d'environ 150 millions de tonnes. Avec une croissance économique mondiale plus faible, les pays émergents n'ont pas non plus été en mesure d'augmenter leurs émissions autant qu'ils auraient pu le faire dans un marché international plus dynamique.
Le photovoltaïque a bénéficié de la croissance la plus véloce de toutes les énergies renouvelables
Sur la base des tendances de 2019, l'AIE juge par ailleurs que des transitions vers des énergies propres sont en train de s'opérer, impulsées par le secteur de l'électricité : dans ce domaine, les émissions mondiales ont diminué d'1,2%, soit 170 millions de tonnes, les plus fortes baisses ayant été observées dans des pays développés au sein desquels les émissions de CO2 sont aujourd'hui à des niveaux qui n'avaient pas été atteints depuis la fin des années 1980, une période où la demande en électricité était pourtant inférieure d'un tiers. Le segment de l'électricité représente désormais 36% des émissions du secteur de l'énergie dans les économies avancées, là où il pesait 42% en 2012. L'AIE affirme même que l'intensité moyenne des émissions de la production d'électricité a chuté de 6,5% en 2019, un rythme trois fois plus rapide que celui enregistré lors de la dernière décennie.
Dans les pays développés, l'agence note également que la production des centrales à charbon a accusé une perte de 15%. Parallèlement, la croissance des énergies renouvelables a permis d'économiser 130 millions de tonnes de dioxyde de carbone : l'énergie éolienne a particulièrement eu le vent dans le dos, représentant la plus grande part de cette progression, en enregistrant à elle seule +12%. Mais c'est le solaire photovoltaïque qui a bénéficié de la croissance la plus véloce de toutes les sources d'énergies renouvelables, contribuant de fait à ce que la part de ces dernières dans la production globale d'électricité avoisine les 28%. De même, le passage du charbon au gaz naturel a évité l'émission de 100 millions de tonnes au sein des économies avancées, notamment auxEtats-Unis. Enfin, l'augmentation de la production d'énergie nucléaire, particulièrement auJaponet en Corée du Sud, a économisé plus de 50 millions de tonnes de CO2.
Un scandale bien étouffé est la fraude médicale quand aux déclarations de cas de cancers par certains médecins qui touchent des subventions pour chaque patient déclaré. Pourtant, cela confirme les propos du Dr Delépine dans sa conférence ainsi que ses livres.
L’article nous explique entre autres faits que si 90% des cancers de la prostate sont traités, seuls 3% de ces cancers sont mortels, ce qui implique que 97% de ces cancers ne s’étendent pas, les patients décédant généralement d’autre chose.
Nous Nous pouvons également apprendre au sujet de la chimiothérapie que "la chimiothérapie stimule la croissance du cancer et les taux de mortalité à long terme. La plupart des patients traités par chimiothérapie meurent ou sont en proie à la maladie dans les 10-15 ans suivant le traitement. Elle détruit leur système immunitaire, augmente la baisse du système neuro-cognitif, perturbe le fonctionnement du système endocrinien".
Cela arrive plus souvent que vous ne pouvez l’imaginer, mais plus en plus de médecins sont finalement pris en flagrant délit de dénaturer leur serment et de diagnostiquer frauduleusement un cancer chez des patients en bonne santé pour le traiter avec des produits chimiothérapiques.
Prenez le Dr Farid Fata, un médecin cancérologue de premier plan dans le Michigan, qui a admis en cours il y a un an qu’il a diagnostiqué intentionnellement et illégalement un cancer à des personnes en bonne santé. Fata a également admis leur avoir donné des médicaments chimiothérapiques dans le but de réaliser un profit.
Ses patients ont-ils été choqués? Bien sûr qu’ils l’étaient. Qui aurait jamais soupçonné un médecin de truquer un diagnostic afin de collecter de l’argent. C’est inadmissible. Pourtant, il arrive avec le cancer ainsi que presque toutes les maladies que les médecins générèrent des revenus par le biais des commissions occultes et des commissions sur la base du volume de patients traités avec des produits pharmaceutiques spécifiques. Comme quoi les gens sont utilisés pour « leur côté pratique ».
Our Organs Have Their Own Consciousness And We Can Talk to Them This year marks the 20 th anniversary of the departure of my dear teacher and guide Carlos Castaneda. I met him in the mid-nineties as
This year marks the 20thanniversary of the departure of my dear teacher and guide Carlos Castaneda. I met him in the mid-nineties as a young doctor looking for a deeper meaning in my path as a healer to people.
My life brought me to him without looking for it.
Not long before, as a medical resident in Bariloche, Argentina, I had wanted to go in all the way into the medical knowledge. I come from a family of doctors and scientists, where hard work and dedication to the ethics of truth was a strong value.
Thanks to high grades, luck and daring, I managed to get into a unique and prestigious program where I was left as the front person in charge of the ER (Emergency Room) every four nights. It was an exciting and also daunting all-in immersion into hospital life that got me dealing with all kinds of medical issues and emergencies. I practically lived in the clinic, and assisted in trauma, strokes, heart attacks or child births.
I had the experience of dealing with life and death decisions, of seeing the mystery of the body healing miraculously and the humbling presence of death in my hands. Life was fast, and surprising. Yet, I missed the touch of a larger, more encompassing view.
I had the experience of dealing with life and death decisions, of seeing the mystery of the body healing miraculously and the humbling presence of death in my hands. Life was fast, and surprising. Yet, I missed the touch of a larger, more encompassing view.
In many occasions, the tools I had been given as a Western MD couldn’t help me; It could only take me so far and a more holistic view became a necessity.
One such day, during my night shift, a patient died on my watch.
He was staying overnight after a minor surgery and he developed an acute pulmonary edema that led to him to going into arrest. I moved him into the Intensive Care Unit (ICU) and tried to resuscitate him, but I couldn’t. It later turned out that a key heart medication the patient needed had not been logged into his chart and was never given to him. He shouldn’t have died. The event caused me to deeply re-evaluate the meaning of my profession and life in general. Medical school did not give me the container for these situations. I even considered to quit medicine.
I left Argentina back to USA, my country of birth. Then, there, serendipity and fate made me meet Carlos Castaneda and everything changed in my life.
When I first met him, he invited me to lunch, at a local Cuban restaurant called The Versailles which he frequented. I remember that, when he invited me, he had said he wanted to know more about me, but I barely opened my mouth during lunch. He was very animated the whole time, and made me laugh so hard with his storytelling that my belly muscles ached badly. He had such a mesmerizing and charming presence and it absorbed me completely.
At the end, as we were walking towards the car in the parking lot, he came closeandalmost in a whispersaid that the reason we were there that day was because I could be a bridge between the shamanism he had learnt from his teacher, don Juan Matus, and the world of health and medicine.
At the time, I had no idea what this meant, but his message of a higher intelligence and energy at play in everyday life came to fill exactly the void I had found in my regular medical life. I was hooked.
A direct apprenticeship that meant being open to new ideas.
Over time, Carlos Castaneda became a mentor and guide. He said I could not run away from my destiny and encouraged me to return to medicine. But he gave me the larger container, he opened up what was to me a new paradigm at the time, one which today, decades later, has emerged in science and in our collective understanding: thatthere is no such distinction between the mind and the body;
rather, that we are a network of energy and information crisscrossing in all directions between the mind and the body. Peptides and other biochemicals carry the messages of our thoughts and our emotions everywhere, perception affects behavior and behavior changes the very physicality of our brain and body, memories from our life experiences are stored in the organs and in our fascia and,
more than a defined, isolated individual, we are more like a cooperative of many voicesincluding a majority of foreign DNA from a microbiome which gives us fundamental aspects of our identity such as our very personality traits, as a pioneering study from the University of California, Los Angeles (UCLA) recently showed
Everything in us is changing and evolving, not isolated, but in deep resonance with our environment, such as the quality of the electro-magnetic field emitted by our hearts which can cause specific changes in the brains of the people around us.
We now know that it is a fact from research we can enter deep meditation states through practice and then these states can cause definitive changes in all our major regulatory mechanisms such as telomere length (a key biomarker for cell lifespan), inflammation cascades and cell repair. These and other behaviors can change the very expression of our genome through the epigenetic landscape that we now recognize asahighly fluid pluripotential environment in which our body lives.
What my teacher Carlos Castaneda introduced me to was this same viewpoint. It used different language but its syntax carried the same implications and conclusions. It enlarged the scope of possibilities of my human experience, and that of my patients. Modern science and ancient shamanistic principles and practices came together into a similar unit of life: Our internalbody-mind world.
What it means ‘I can talk to my internal organs.’
One practice that Carlos Castaneda taught me was “talking to my organs.”The idea was simple: just as there is the overallme, there are also many smaller individual aspects of that me, represented in my tissues and organs themselves. In the dynamic world of information within my body, there is a distinct consciousness in each of my organs. Our organs store memories and also contain information.Andthey can talk to us. The bigmecan go in and establish a dialogue with the different organs and tissues.
In over twenty years of teaching workshops and clinical practice, I have found this to be very accurate and of highly practical value to understand ourselves and what our bodies are experiencing.
At times, I would see Castaneda ‘talking to his liver’, for example. He would talk to it in a very kind way, thanking it for all the work it took on. He would caress his ribs right where the liver is, and also pause and take a moment to ‘listen’ to it.
More than 500 vital functions have been identified in each liver cell, 24/7. It is the organ that organizes and distributes our internal nutrients and resources. In our busy modern lives, it tends to get overburdened. It stores ‘excess’ material, not only physiologically but also in our Consciousness.
Our stressors are ‘stored’ in the liver.
When our liver gets overwhelmed, it also gets tight, and interferes with other neighbor organs, such as our stomach and intestines, or our sense of calm in our heart.
Our organs can tell us a lot of things.
For instance, a patient who came to treatment for severe constipation, had received standard help from doctors such as increasing fiber and exercise, stool softeners and even antidepressants, with weak results. During the consult, using guided imagery, we established a conversation ‘between his higher self and his colon’, and his colon told him that the reasonitwas holding its movement was becausehewas feeling stuck at work. He had a long term dispute with his business partner that wasn’t being resolved.
The colon was storing that emotional and perceptual component of his inner life.
He realized then that he had been very rigid in his position about the dispute and needed to move on. The day after he signed the dissolution papers he had a bowel movement and within a month he had his regular rhythm restored.
Another fascinating example of how our organs store information and life experiences, even highly specific and detailed stuff, was reported by Paul Pearsall, Ph.D., in his book The Heart’s Code. I heard about this account by Ron Hulnik, Ph.D., one of the founders of the prestigious program in Spiritual Psychology at the University of Santa Monica, where I am so excited to be currently taking a Certification. Pearsall, aclinical neuropsychologist in the Transplant Donor Department at the University of Arizona, describes how organ recipients take in memories and personality traits from the donor. He tells the case of a girl who had received a heart transplant from another girl who had been murdered. She soon began to have dreams and flashbacks of being murdered herself that eventually became so vivid and detailed that her mother reported it and it led the police to identify the actual murderer and prove the case in court. The implication of such an unequivocal event makes it undeniable thatthe organs themselves, independently, are capable of storing a high level of specificity of information.
How do I talk to my organs?
There are two steps and one ruleto do this.
The first step is doing something to quiet the mind chatter and be present. This can be one minute focusing on our breathing, or even just one breath!
The second step is to turn our attention to a particular organ with an attitude of inquiry and establish a dialogue.
The rule is that when we ask a question, we have to be direct, as if we were talking to someone right in front of us, and then pause and wait for the very first thing that comes to mind, without preconditions.It might be a thought, an image or a memory. It might be the feeling of something that could become clear at a later time.
The rule means that it is spontaneous information that formulates in our Consciousness in the pause immediately after we address the question to the organ.
Sometimes, there doesn’t need to even be a question; all that seems to be needed is to turn our attention to the organ with the intention toseeit and listen to it.
The Practice.
For the next moment, close your eyes andlet your attention shift from the outer world to the inner world.You can simply let your body release any tension that it doesn’t need, right now.
In one sweep from head down to toes, just scan across your whole body with your attention and let each muscle relax, let each joint soften, letting all the nerves just open, the circulation and the skin open. And let your body do this at its own pace.
Now,openyourinnereyes and go with your attention to the organ you want to talk to, listen to, or just hold space for. Allow yourself to use your full imagination and live it inside of you.
Have you been having any issues with the health of this organ?
Connect to these symptoms, and specifically to the emotions that these symptoms arise in you. Stay attuned to these emotions for a moment. Don’t judge them or try to change them, just be with them.
Now, begin to talk to the organ, as if it was a person you are talking to. A person that is also you, or an aspect of you.
Hold an attitude of appreciation, companionship and support. This part of you has been suffering and you want to be there for it. Lovingly express to the organ your support at this time. Talk to the organ as if it was your own 5-year old kid.
Ask simple, direct questions such as:
“Why are you in pain?”
“How does this relate to my life right now?”
“How can I help for you to feel better?”
“Is there anything I can do for you to stop this symptom?”
emember, don’t prejudge or discard whatever arises when you ask. Spend a moment or as long as you feel is right in this dialogue, or simply sit in the presence of the organ, holding your Consciousness there.
When you are ready, say thank you to your organ for being available to you. Ask permission to further dialogue in the future. Come out at your own pace and immediately take count of the experience and of any information that came from it.
I highly recommended to write down this information.
Certificats médicaux et d'ordonnances, 3 % à la gynécologie. La pratique des médecines alternatives (acupuncture, homéopathie, ostéopathie, nutrition et mésothérapie) représente environ 7 % des consultations !
22 consultations par jour de 17 minutes en moyenne : comment travaillent les généralistes
Les médecins généralistes effectuent en moyenne 22 consultations par jour d'une durée moyenne de 17 minutes, révèle une étude* publiée le 29 avril par Doctolib, un site de prise de rendez-vous en ligne.
Plus précisément, l'entreprise a réalisé cette synthèse à partir des données anonymisées de 2 480 généralistes et analysé l'activité et l'organisation de leur agenda professionnel sur un an. Les résultats montrent que le généraliste est le « couteau suisse » du système de santé. Ils assument 2 millions de consultations chaque jour en France, le plus important volume de consultations en médecine de ville.
3 jours d'attente pour un rendez-vous
Les motifs de consultation sont variés, 75 % sont consacrés au diagnostic, traitement et suivi médical, 9 % à la pédiatrie, 6 % dédiées à la délivrance de certificats médicaux et d'ordonnances, 3 % à la gynécologie. La pratique des médecines alternatives (acupuncture, homéopathie, ostéopathie, nutrition et mésothérapie) représente environ 7 % des consultations
Selon l'étude, une consultation sur cinq (19 %) est motivée par l'urgence. Les omnipraticiens voient en moyenne 5,3 fois leur patient dans l'année.
D'autres résultats indiquent que les médecins généralistes sont plus accessibles que leurs confrères spécialistes. Le délai d'attente est de 3 jours en moyenne contre 26 pour les autres spécialités. À cela s'ajoute la prise en charge des soins par l'assurance-maladie. « 80 % des généralistes (faisant appel aux services de Doctolib, NDLR) ne pratiquent aucun dépassement d'honoraire », précise la société. Enfin, les médecins de famille se déplacent régulièrement au chevet de leurs patients, avec plus d'une consultation sur dix réalisée à domicile.
50 heures de travail par semaine dont 31 consacrées aux consultations
Selon une analyse détaillée de leur activité, les généralistes consacrent six heures par jour aux consultations et quatre heures aux autres tâches. Le généraliste assume environ 31 heures de consultation par semaine pour une durée hebdomadaire de travail de 50 heures.
Les données recueillies par Doctolib permettent d'identifier plusieurs pics de consultation dans l'année où les praticiens effectuent près de 30 rendez-vous par jour. Ces périodes chargées apparaissent en janvier, mars, juin et septembre et correspondent aux épidémies saisonnières, à la forte chaleur ou au grand froid. Elles coïncident également à un manque de généralistes pendant les congés. Ces périodes critiques impactent l'accès aux soins. Ainsi, le délai d'attente s'allonge et est estimé à plus de quatre jours en juillet, août, septembre, octobre, novembre, mars et avril.
Bienvenue sur le site internet de la Société Française de Mésothérapie (SFM) Notre site Web est divisé en trois parties : un espace pour les patients , un pour les médecins non adhérents à...
Mesotherapie : technique médicale définie par la Société Française de Mésothérapie comme des injections locales et très superficielles de doses faibles de médicaments - sfmesotherapie.over-blog.com
La télémédecine dope les investissements dans l’e-santé. Nouvelle illustration aujourd’hui avec le tour de table de 2 millions d’euros réalisé par la start-up strasbourgeoise TokTokDoc, qui développe une plateforme de télémédecine dédiée aux pensionnaires des Ehpad, établissements pour personnes âgées. L’opération a été dirigée parArkéavia son fonds We Positive Invest.
Un résident en Ehpad avec un médecin à distance
Fondée en septembre 2017 par Dan Grünstein et Laurent Schmoll, TokTokDoc a mis sur orbite une solution de télémédecine qui permet de mettre en relation un résident en Ehpad avec un médecin à distance. La téléconsultation se fait à l’aide d’une tablette tactile et d’un stéthoscope connecté, et toujours en présence du personnel soignant aux côtés du patient pour l’épauler tout au long de l’échange vidéo avec le médecin. A l’issue de la visioconsultation, ce dernier a la possibilité de rédiger une ordonnance et d’émettre une note d’honoraire.
Aller au-delà des Ehpad pour s’adresser à un marché de 2 millions de patients
Avec ce dispositif, TokTokDoc entend améliorer le suivi médical des personnes les plus vulnérables en Ehpad, notamment en leur épargnant des déplacements en ambulance. A ce jour, plus de 150 établissements en France sont équipés de la solution développée par la start-up strasbourgeoise, ce qui permet à 12 000 patients d’en bénéficier. «La télémédecine n’est pas qu’une révolution technologique ; elle est avant tout une révolution organisationnelle», estime Dan Grünstein, co-fondateur et CEO de TokToKDoc.
Ce tour de table doit permettre à TokTokDoc d’étendre son champ d’action en déployant son offre au-delà des Ehpad. La société va ainsi proposer son service à l’ensemble du secteur médico-social (personnes âgées et en situation de handicap), aux structures sanitaires(établissements de santé et soins de rééducation) et l’ambulatoire (services infirmiers à domicile), soit un marché qui englobe plus de 30 000 structures et près de 2 millions de patients. En parallèle, l’entreprise va doubler ses effectifs pour atteindre les 40 collaborateurs d’ici un an.
Doctolib, tête de gondole de la télémédecine en France
Avec l’essor de la télémédecine, nombreuses sont les start-up, à l’image deQare,Medicitus ou encoreDoctoconsult, à se positionner sur ce marché pour en tirer profit. Cependant, un vent de consolidation souffle sur le secteur depuis l’introduction du remboursement des téléconsultations médicales par la Sécurité sociale le 15 septembre 2018 comme en témoignele rachat en mars de MédecinDirect, l’une des principales plateformes de télémédecine en France, par le groupe américain Teladoc Health. Par ailleurs, Doctolib,qui vient de rejoindre le club très fermé des licornes françaises après un tour de table de 150 millions d’euros, a commencé à déployer en début d’année son outil de consultation en ligne et compte bien se tailler la part du lion dans ce secteur. De son côté, la start-up Hellocare, lancée parMathilde le Rouzicet William Benichou, a levé2 millions d’eurosen mars.
Pour rappel, les téléconsultations sont facturées de la même façon que pour une consultation classique, soit 25 euros pour un généraliste et 30 euros pour un spécialiste. Si le marché de la télémédecine n’en est encore qu’à ses balbutiements, le cabinet Forrester estime en revanche que les visites médicales virtuelles pourraient dépasser les visites physiques aux États-Unis d’ici fin 2020.
Selon les observations d'IDC, la demande mondiale de tablettes tactiles régresse une fois de plus. Au premier trimestre de l'année, elles ont plongé de 14% avec 39,6 millions d'unités vendues c...
Déserts médicaux : l’APVF et Villes de France font leurs propositions
« Notre système de santé est profondément en crise. Les Français ont invité ce thème dans le Grand débat, ils attendent des réponses » a rappelé Frédéric Valletoux, maire de Fontainebleau et président de la Fédération hospitalière Française (FHF), à l’occasion d’un colloque sur la désertification médicale, organisé le 10 avril par l’association des petites villes de France (APVF) et Villes de France, en partenariat avec la Mutuelle Nationale Territoriale (MNT). L’accès au service public de santé est plus que jamais d’actualité. Et si les deux associations prennent acte des avancées contenues dans le projet de loi relatif à l’organisation et à la transformation du système de santé, parmi lesquelles la création des projets territoriaux de santé, la suppression du numerus clausus et l’extension du recours aux médecins adjoints, des inquiétudes demeurent.
Qu’en est-il de la cartographie des hôpitaux de proximité ?
Quels praticiens interviendront dans les hôpitaux de proximité qui n’auront plus d’activité de chirurgie ou de maternité ? Comment rendre plus accessible l’offre de soins en milieu rural et améliorer le dialogue et la concertation entre les élus locaux et les Agences Régionales de Santé (ARS) ?
Dans un communiqué, les deux associations ont formulé 7 propositions communes et partagées pour lutter contre la désertification médicale.
Elles estiment qu’il faudra arrêter le conventionnement par la sécurité sociale des praticiens dans les zones en surnuméraire,
créer des « Territoires prioritaires de santé », placés au même rang de priorité que les « quartiers prioritaires » de la politique de la ville,
développer la pratique de mutualisation des praticiens hospitaliers dans les bassins de vie,
développer les formations de maître de stage des universités dans les zones sous-denses,
inciter à l’expérimentation du concept de « responsabilité populationnelle »,
développer et accompagner tant techniquement que financièrement l’innovation en matière de télé-consultation, télé-médecine;
et, enfin, réaffirmer la place et le pouvoir de décision de l’élu dans les conseils de surveillance des centres hospitaliers.