Il va falloir suivre tous les patients déclarés positifs au COVID, vaccin ou pas !
ILS ONT JOUE une 2eme FOIS avec l'EPIDEMIE
Regarder, c'est au moins apporter une certaine curiosité. Etre curieux n'est ce pas de chercher à progresser ? Avec le 3D-Health-Center voici un regard de plus sur les faits et réalités
Publié le 13 Janvier 2021 par 3D HEALTH CENTER dans professeur, Didier Raoult, COVID, epidemie, pandemie, Europe, Monde, Asie, Amerique, Europe Centrale, soins, IHU Marseille, scientifique
Il va falloir suivre tous les patients déclarés positifs au COVID, vaccin ou pas !
ILS ONT JOUE une 2eme FOIS avec l'EPIDEMIE
Publié le 15 Octobre 2020 par 3D HEALTH CENTER dans StopCovid, covid 19, apps, Emmanuel Macron, TraceTogether, QR code, scanner, Tous-Anti-Covid, application, épidémie
L'application StopCovid "n'a pas marché (...). On n'a pas réussi à faire de l'application un outil pour les gens!
Donc depuis plusieurs semaines, j'ai demandé aux équipes de complètement reconfigurer les choses. Il faut qu'on ait une nouvelle application. Elle va s'appeler Tous anti-Covid.
Ce sera notamment "une application d'information" qui présentera de nouvelles options :
-comment circule le virus,
-où vous êtes,
-où sont les points pour se faire tester (...).
Donc il y aura des informations générales, des informations plus particulières et locales
L’échec de StopCovid est maintenant indéniable, même le Président de la République en fait le constat. “Ça n'a pas marché” expliquait Emmanuel Macron hier soir lors d’une interview. Pour autant, quand bien même il a “été beaucoup moins téléchargé que chez nos voisins”, les applications allemandes et britanniques frôlant les 20 millions de téléchargement chacune, le Président insiste : “personne n'a réussi à faire de l'application un vrai outil d'alerte”.
Personne, sauf la France apparemment, qui retente à nouveau l’expérience avec un StopCovid 2, abandonnant a priori tout ce qui touche au contact tracing par Bluetooth gourmand en batterie. Les efforts de l’INRIA n’auront ainsi pas permis de sauver ROBERT. En lieu et place, un fonctionnement similaire à celui de l’application lancée à Singapour, à en croire BFM TV.
Non pas la première, TraceTogether, qui fonctionnait elle aussi sur le BLE et n’a pas été aussi téléchargée que souhaité (ça ne vous rappelle rien ?), mais la seconde, SafeEntry. Celle-ci reposait sur un QR code que l’utilisateur devait scanner en entrant et sortant de certains lieux publics et bâtiments, QR code contenant des informations d’identification. Un système de check in et de check out permettant de savoir qui se trouvait à tel endroit à tel heure. Tous-Anti-Covid adopterait donc un système similaire, à l’entrée des restaurants ou de bureaux par exemple.
Ainsi, plus de problème d’autonomie, d’incompatibilité ou encore de signal : il revient ainsi à l’utilisateur d’activer manuellement l’application. Ce qui correspond aux déclarations d’Emmanuel Macron, pour qui il faudra allumer l’application “quand vous allez au restaurant, au bar, dans un endroit à risque”. On pourra toutefois s’interroger sur la pertinence du QR Code, format qui est bien moins plébiscité dans l’Hexagone qu’il ne l’est en Asie, à Singapour entre autres.
Le gouvernement donnera à la population un “mode d’emploi très clair” quant à l’utilisation de cette application, qui affichera en outre des informations générales et des informations particulières et locales sur l’épidémie. Tous-Anti-Covid sera présenté le 22 octobre, après quoi l’application “va monter en charge”. Et cette fois-ci, son pilotage passera d’abord par un appel d’offres.
source : https://www.linformaticien.com/actualites/id/55331/stopcovid-un-aveu-d-echec.aspx
Publié le 10 Septembre 2019 par 3D HEALTH CENTER dans medecin, generaliste, doctolib, certificats médicaux, diagnostic, rendez-vous en ligne, consultation, médecine de ville, certificat médical, ordonnance, gynécologie, médecine alternative, épidémie, délai d'attente, dépassement d'honoraire
Les médecins généralistes effectuent en moyenne 22 consultations par jour d'une durée moyenne de 17 minutes, révèle une étude* publiée le 29 avril par Doctolib, un site de prise de rendez-vous en ligne.
Plus précisément, l'entreprise a réalisé cette synthèse à partir des données anonymisées de 2 480 généralistes et analysé l'activité et l'organisation de leur agenda professionnel sur un an. Les résultats montrent que le généraliste est le « couteau suisse » du système de santé. Ils assument 2 millions de consultations chaque jour en France, le plus important volume de consultations en médecine de ville.
Les motifs de consultation sont variés, 75 % sont consacrés au diagnostic, traitement et suivi médical, 9 % à la pédiatrie, 6 % dédiées à la délivrance de certificats médicaux et d'ordonnances, 3 % à la gynécologie. La pratique des médecines alternatives (acupuncture, homéopathie, ostéopathie, nutrition et mésothérapie) représente environ 7 % des consultations
Selon l'étude, une consultation sur cinq (19 %) est motivée par l'urgence. Les omnipraticiens voient en moyenne 5,3 fois leur patient dans l'année.
D'autres résultats indiquent que les médecins généralistes sont plus accessibles que leurs confrères spécialistes. Le délai d'attente est de 3 jours en moyenne contre 26 pour les autres spécialités. À cela s'ajoute la prise en charge des soins par l'assurance-maladie. « 80 % des généralistes (faisant appel aux services de Doctolib, NDLR) ne pratiquent aucun dépassement d'honoraire », précise la société. Enfin, les médecins de famille se déplacent régulièrement au chevet de leurs patients, avec plus d'une consultation sur dix réalisée à domicile.
Selon une analyse détaillée de leur activité, les généralistes consacrent six heures par jour aux consultations et quatre heures aux autres tâches. Le généraliste assume environ 31 heures de consultation par semaine pour une durée hebdomadaire de travail de 50 heures.
Les données recueillies par Doctolib permettent d'identifier plusieurs pics de consultation dans l'année où les praticiens effectuent près de 30 rendez-vous par jour. Ces périodes chargées apparaissent en janvier, mars, juin et septembre et correspondent aux épidémies saisonnières, à la forte chaleur ou au grand froid. Elles coïncident également à un manque de généralistes pendant les congés. Ces périodes critiques impactent l'accès aux soins. Ainsi, le délai d'attente s'allonge et est estimé à plus de quatre jours en juillet, août, septembre, octobre, novembre, mars et avril.
source :
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Mesotherapie : technique médicale définie par la Société Française de Mésothérapie comme des injections locales et très superficielles de doses faibles de médicaments - sfmesotherapie.over-blog.com